“Cette guerre folle pourrait bientôt prendre fin.” L’invocation du Pape pour l’Ukraine. Et il espère une gestion efficace de la capitale détruite par les incendies

“Chaque jour, je porte dans mon cœur la chère et tourmentée Ukraine, qui continue d’être en proie à des attentats barbares, comme celui qui a frappé le centre commercial de Krementchouk. Je prie pour que cette folle guerre se termine bientôt, et je renouvelle l’invitation à persévérer, sans se lasser, dans la prière pour la paix : que le Seigneur ouvre ces chemins de dialogue que les hommes ne veulent pas ou ne peuvent pas trouver ! Et ne négligeons pas d’aider la population ukrainienne, qui souffre tant ». Ce sont les paroles du Pape après la prière de l’Angélus.

“En cette fête des saints apôtres Pierre et Paul, principaux patrons de Rome, j’exprime mes meilleurs vœux aux Romains et à tous ceux qui séjournent dans cette ville, espérant que chacun y trouvera un accueil digne de sa beauté. Rome est belle!”. Le pape François l’a dit après l’Angélus.

“Ces derniers jours – a ajouté Francesco – à Rome, plusieurs incendies se sont déclarés, favorisés par des températures très élevées, alors que dans de nombreux endroits, la sécheresse est désormais un problème sérieux, qui cause de graves dommages aux activités de production et à l’environnement. J’espère que les mesures nécessaires seront mises en œuvre pour faire face à ces urgences et prévenir de futures urgences. Tout cela doit nous faire réfléchir sur la protection de la création, qui est notre responsabilité, de chacun de nous. Ce n’est pas une mode, c’est une responsabilité : l’avenir de la terre est entre nos mains et avec nos décisions !”

“Aujourd’hui, le premier numéro de ‘L’Osservatore di strada’, le nouveau mensuel de ‘L’Osservatore Romano’, est distribué ici sur la place. Dans ce journal, ces derniers deviennent protagonistes : en effet, des personnes pauvres et marginalisées participent au travail éditorial, écrivant, se laissant interviewer, illustrant les pages de ce mensuel proposé gratuitement. Si quelqu’un veut donner quelque chose, il peut le donner volontairement, mais le prendre librement car c’est un bon travail qui vient de la base, des pauvres, comme expression de ceux qui sont marginalisés”.