Les “Gilets Jaunes” français et le “Mouvement cinq étoiles”

L’Italie pratique actuellement deux politiques extérieures: il y a celle du gouvernement, qui déclare sa loyauté envers l’Union européenne et envers les Traités souscrits avec les pays amis et alliés, et après il y a la politique internationale particulière de l’un des partis qui composent la coalition “bi-populiste”, c’est à dire le “Mouvement cinq étoiles”.

Ce dernier non seulement proclame son affinité idéologique avec les “Gilets Jaunes” français, mais se démonstre aussi absoluement solidaire avec l’action qu’ils développent, et particulièrement avec ses méthodes, qui sont ouvertement illégaux.
On est arrivés au point d’offrir aux rebelles transalpins un appui ligistique, fourni par l’ainsi dite “Plate – forme Rousseau”, sur laquelle peuvent naturellement intervenir la Police et les Services Secrets français, tendis qu’ils ne puissent faire absoluement rien contre des sujets italiens qui agissent sur leur territoire.

Il se peut de toute façon que tous les Etats, en faisant abstraction de leurs éventuels rapports d’alliance, sont obligés à réprimer les actes d’hostilitè accomplis à leur intérieur mais dirigés contre la sécurité d’autrui.
Au cas où – pour donner un exemple – un cutoyen italien tire avec une arme de feu contre le territoire français, notre Police est tenue à l’arreter, en faisant abstraction de l’évaluation de sa conduite par la justice pénale.
Si l’Autorité italienne m’intervient pas, la France considérera que l’on ait commis une violation des règles du Droit International.
Ce qui s’est s’est passé, ou au moins a été annoncé par Di Maio, constitue un cas pareil à celui que nous avons hypotisé à titre d’exemple.

Avec une circonstance aggravante, qui par dessous le marché est très importante: la personne qui déclare l’intemtion d’accomplir des actes d’hostilité vers un autre Etat c’est le Vice – Président de notre Conseil des Ministres; donc ce n’est pas un simple citoyen qui agit, mais bien le propre Gouvernement italien.

Les “Gilets Jaunes” se qualifient comme un groupe subversif, en déclarant qu’ils agissent au dehors des lois de la République: jusu’au point que leurs dirigeants ont été concernés par des mesures judiciaires, ayant été exercées contre eux des actions pénales.

Il y a quelques années, le Gouvernement de François Mitterand accorda l’asile politique à qualques terroristes italiens, protegés par l’Abbé Pierre, héros de la Résistance Française.
Il s’était agi d’une décision très discutable, fondée sur le présupposé que l’Italie n’était pas un Etat de Droit, et que par conséquence résultait légitime une opposition à nos Autorités réalisée en employant des méthodes illégales, et bien plus violentes.
Toutefois, la France ne devint jamais un “sanctuaire” pour les terroristes, auxquels on ne conceda d’aucune façon l’emploi de son territoire pour organiser leus actions subversives en Italie.
Di Maio déclare au contraire d’une façon ouverte qu’il veut faire précisement cela.
Dans la domaine du Droit International, il n’y a aucun Tribunal qui puisse sanctionner les violations des normes de cet ordonnement éventuellement commises par l’un des sujets qui le composent.

Par conséquence, lors que un Etat viole un Traité, les autres “Hautes Parties Contractantes” peuvent seulement le dénoncer, en ne se considérant plus obligées à observer ce qu’il établit.
Donc, si Di Maio réalisera malheureusement ses propos, la France purrait restreindre la circulation frontalière, en limitant soit l’accès des citoyens italiens à son territoire, soit la sortie des citoyens français.
Considérons, par exemple, la possibilité que l’un des dirigeants des “Gilets Jaunes” ait l’intention de se rendre à Milan pour se mettre d’accord avec ses homologues de la “Plate – forme Rousseau” sur les messages à diffuser par courier éléctronique pour appuyer les casseurs dans leur ravages.

Les Autorités françaises pourraient naturellement arreter le malintenniommé à la frontière, mais aussi envoyer à Milan leurs “barbouzes” faire des recherches sur les trames de Monsieur Casaleggio.
On étoupillerait en bref une “escalation” que l’on ne sait pas jusqu’à quel point pourrait nous emporter.
Celle – ci est l’analyse de la politique extérieure de l’un des Partis qui composent notre Gouvernement.

Il y a aussi toutefois celle “officielle” practiquée par le Pouvoir Exécutif, lequel va dénoncer l’Acte de Droit International qui impose à l’Italie la construction du Chemin de Ferr de Haute Vitesse de Turin à Lyon.
Notre Gouvernement répondra aux critiques en affirmant qu’il est disposé à se soumettre aux sanctions conséquentes, établies par la Cour de Justice de l’Union Européenne, devant à laquelle certainement va recourir la France.
Si l’on considère que les décisions qui concernent les travaux en cours dans la Vallée de Suse sont connexes avec celles prises par le Mouvement “à Cinq Etoiles” pour aider les rebelles transalpins, on peut prévoir que le contentieux bilatéral va s’aggraver, en causant une situation de conflit jamais vue aprrè la Deuxième Guerre Mondiale entre deux Pays de l’Europe Occidentale.

On doit pas oublier aussi que le Parti de Monsieur Di Maio est allié en Piémont avec les “Centres Sociaux”, qui sont les plus actifs dans l’opposition à la “Haute Vitesse”.
Les Centres Sociaux sont alliés à leur fois avec les “Gilets Jauses” français.
On aperçoit donc l’esistence d’une “Internationale Subversive” où les fonctions des Mouvements et celles des Gouvernements se superposent, en causant un danger pour la paix civile de l’Europe Occidentale.
Ni on doit sous – estimer un autre aspect.

Notre Gouvernement se qualifie de plus en plus comme une “démocrature”, et l’un des épisodes plus inquiétants qui révèlent cette tendence c’est la rédaction des fiches à laquelle s’est dédiée Madame le Ministre de la Santé.
C’est un mauvais signe la rédaction des fiches concernant les savants, qui rappele la persecution de Sacharov au temps de l’Union Soviétique.
Mettons – nous à la place des Français.
Un Gouvernement demi – dictatorial étranger, qui déjà dépasse dans son Pays les limites de l’Etat de Droit, attise la violence dans la Nation voisine, et patronne pour ce but un mouvement subversif.
Il s’agit d’une situation aux limites de la légalité internationale.

Mario Castellano