“J’espère qu’il y a encore des marges de négociation, même si elles sont limitées. Nous avons à plusieurs reprises donné notre disponibilité, a également dit le pape, maintenant l’initiative doit être de l’autre côté. Nous pensons que le Saint-Siège peut aider à la médiation”. Le secrétaire d’État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, l’a dit en s’adressant à l’Angelicum au sujet de la rencontre qu’il a eue avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
“Nous avons demandé d’arrêter la guerre, de consolider les négociations et nous avons dit que nous étions disponibles, mais “nous ne pouvons pas entrer dans le jeu si nous ne sommes pas appelés à le faire”, a ajouté le cardinal. Le cardinal Parolin a alors qualifié le bombardement de l’hôpital pédiatrique de Marioupol d'”inacceptable” même s’il n’est pas allé jusqu’à parler de crimes de guerre, même s’il y était pressé par des journalistes. Parolin, cependant, a renouvelé son appel à un cessez-le-feu et à des “couloirs humanitaires” sûrs.
