“Le Pape veut donc manifester une attention particulière, une proximité particulière, à ce pays, à l’Irak. Le but et la signification de cette visite sont précisément de manifester la proximité du Pape avec l’Irak et les Irakiens; et de lancer un message important: nous devons collaborer, nous devons travailler ensemble pour reconstruire le pays, pour guérir toutes ces blessures, et pour commencer une nouvelle étape.” C’est ce qu’a affirmé dans un entretien à Vatican News, le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat du Saint-Siège, deux jours avant le départ du Pape François en Irak du 5 au 8 mars.
“Le Pape reprend ses pèlerinages apostoliques après cette assez longue période de suspension due à la crise sanitaire du Covid-19. Il les reprend en tournant son attention vers un pays particulièrement souffrant, un pays qui porte dans son corps les blessures de la guerre, du terrorisme, de la violence, des affrontements.”