“Cette année, notre prière est devenue un cri, car aujourd’hui la paix est gravement violée, blessée, piétinée: et cela en Europe, c’est-à-dire sur le continent qui a connu les tragédies des deux guerres mondiales au siècle dernier. Nous sommes dans le troisième. Malheureusement, depuis, les guerres n’ont cessé d’ensanglanter et d’appauvrir la terre, mais le moment que nous vivons est particulièrement dramatique”.
Le pape François a pris la parole lors de la dernière soirée de la Rencontre de prière pour la paix avec les responsables chrétiens et les religions du monde qui s’est ouverte dimanche au “Nuage” de l’Eur, avec Macron et Mattarella. Le discours de François a été précédé d’un moment de prière à l’intérieur du Colisée avec les représentants des Églises et des communautés chrétiennes, tandis que les responsables des autres religions étaient réunis en prière dans divers endroits de la ville.
.Puis à 17h, sur la scène installée devant l’Amphithéâtre Flavien, la cérémonie finale tous ensemble, avec des témoignages suivis d’une minute de silence à la mémoire des victimes de la guerre, du terrorisme, de la violence et de la traite des êtres humains.
A la fin, la signature de “l’Appel pour la paix de Rome” par le pape François et les autres responsables religieux, qui a ensuite été remis par l’écrivaine, témoin de la Shoah, Edith Bruck, à quelques garçons et filles présents et symboliquement à tous les jeunes du monde. Que la guerre est “la mère de toutes les pauvretés”, et laisse “le monde pire qu’il ne l’a trouvé”, qu’elle est “un échec de la politique et de l’humanité ?”, a observé le Pape, « les très douloureuses leçons du XXe siècle, et malheureusement aussi de cette première partie du XXI”, dans laquelle, oubliant Hiroshima et Nagasaki, l’utilisation des armes nucléaires était à nouveau menacée. Mais si, observe François, “^les puissants de la terre ne tiennent pas compte des aspirations de leurs peuples, ils ne changent pas le dessein de paix de Dieu pour l’humanité et qu’il nous appartient d’accueillir.
“Cette année, notre prière est devenue un cri, car aujourd’hui la paix est gravement violée, blessée, piétinée: et cela en Europe, c’est-à-dire sur le continent qui a connu les tragédies des deux guerres mondiales au siècle dernier. Nous sommes dans le troisième. Malheureusement, depuis, les guerres n’ont cessé d’ensanglanter et d’appauvrir la terre, mais le moment que nous vivons est particulièrement dramatique”.
Le pape François a pris la parole lors de la dernière soirée de la Rencontre de prière pour la paix avec les responsables chrétiens et les religions du monde qui s’est ouverte dimanche au “Nuage” de l’Eur, avec Macron et Mattarella. Le discours de François a été précédé d’un moment de prière à l’intérieur du Colisée avec les représentants des Églises et des communautés chrétiennes, tandis que les responsables des autres religions étaient réunis en prière dans divers endroits de la ville.
Puis à 17h, sur la scène installée devant l’Amphithéâtre Flavien, la cérémonie finale tous ensemble, avec des témoignages suivis d’une minute de silence à la mémoire des victimes de la guerre, du terrorisme, de la violence et de la traite des êtres humains. A la fin, la signature de “l’Appel pour la paix de Rome” par le pape François et les autres responsables religieux, qui a ensuite été remis par l’écrivaine, témoin de la Shoah, Edith Bruck, à quelques garçons et filles présents et symboliquement à tous les jeunes du monde. Que la guerre est ‘la mère de toutes les pauvretés”, et laisse “le monde pire qu’il ne l’a trouvé”, qu’elle est “un échec de la politique et de l’humanité”, a observé le Pape, “les très douloureuses leçons du XXe siècle, et malheureusement aussi de cette première partie du XXI”, dans laquelle, oubliant Hiroshima et Nagasaki, l’utilisation des armes nucléaires était à nouveau menacée.
Mais si, observe François, “les puissants de la terre ne tiennent pas compte des aspirations de leurs peuples, ils ne changent pas le dessein de paix de Dieu pour l’humanité et qu’il nous appartient d’accueillir.
A paz é seu dom e nós a invocamos por Ele. Mas este dom deve ser acolhido e cultivado por nós homens e mulheres, especialmente por nós crentes. Por favor, não nos deixemos contaminar pela lógica perversa da guerra; não caiamos na armadilha do ódio ao inimigo. Coloquemos a paz no centro da visão de futuro, como objetivo central da nossa ação pessoal, social e política, em todos os níveis. Vamos desarmar os conflitos com a arma do diálogo”.
A este respeito, o Papa citou o apelo semelhante feito por São João XXIII aos governantes em outubro de 1962. Naquela época, um novo “confronto militar e uma explosão nuclear” parecia estar próximo, e o Papa Roncalli pediu que tudo fosse possível feito para “salvar a paz” e para salvar o mundo dos horrores da guerra. O Papa Francisco então repetiu as palavras pronunciadas por Roncalli: “Promover, encorajar, aceitar o diálogo, em todos os níveis e em todos os momentos, é uma regra de sabedoria e prudência que atrai a bênção do céu e da terra”.
Sessenta anos depois, essas palavras soam de relevância impressionante. Eu os faço meus. Não somos ‘neutros, mas alinhados pela paz. Por isso invocamos o ius pacis como direito de todos para resolver conflitos sem violência’.
Há um ano, quando nos encontramos aqui mesmo, em frente ao Coliseu, lançamos um apelo, hoje ainda mais relevante: “As religiões não podem ser usadas para a guerra. Só a paz é santa e ninguém usa o nome de Deus para abençoar o terror e a violência”.